Place de Chambre

Au XIIème siècle lors de la création de l'hôpital du petit Saint Jean, fondé par les chevaliers de Saint Jean de Jérusalem, la place où se trouvait un marché, avait été nommée in thalamis (chambres). Ce nom évoquait l'hôpital qui disposait de chambres pour les malades et les pèlerins.

Vers 1220 une maison était située en Chambre derrière la cathédrale, vers 1240 une maison se trouvait en Chambre derrière le moulin Saint Vincent ou devant l'hôpital en Chambre. S'agissait-il de la même maison sous des dénominations différentes ?

Vers 1250 un étal existait en Chambre sans connaitre le métier exercé.

Puis vers 1290 était mentionné une grange derrière une halle à côté de l'hôtel de Simonot de Rouvre.

Vers 1300 une maison était située en chambre devant longe-terre et les parmentiers (tailleurs) occupaient la halle en Chambre proche de l'église Saint Victor.

Quant les templiers de Metz avaient été supprimés (1303/1310) une partie de leurs biens avait été donnée aux chevaliers de Saint Jean de Rhodes. Leur prieuré s'étendant jusqu'au bord de la Moselle, désigné sous le nom de petit Saint Jean en Chambre près de la poterne du moyen pont des morts, la place et son marché avaient pris la dénomination de place de Chambre.

Les degrés de Chambre conduisaient à la place Saint Etienne au pied de la cathédrale. Ils occupaient toute la longueur de la cathédrale. Sur ces degrés se tenaient habituellement les criés de justice. Par un atour de janvier 1305 le maitre échevin et le conseil de la cité avaient défendu à tous les prêtres ou laïques de s'installer sur les degrés en long ou en large pour y rendre la justice, afin de contrarier l'évêque qui y avait tenu des plaids annaux.

En 1324 un poème sur la guerre contenait une strophe concernant la place de Chambre.

En chambre est un petit jardin (c'est à dire le marché au fruits)

Un peu en dessous de la grande église

Là se trouvent dès le lever du jour

Suivant la saison prunes et cerises

Pommes poires de toutes espèces

Et en automne le raisin

De tel jardin il n'existe pas jusqu'à Pise.

Une maison dite aux quatre vents vers 1330 se trouvait devant le puits en direction de la Pierre hardie (encore citée en 1567).

Des bains dit étuve des femmes en chambre étaient cités en 1360 / 1430.

En 1360 cinquante cinq ans après l'atour de janvier 1305, la ville de Metz avait donné à l'hôpital Saint Nicolas dit du grand métier, les degrés de chambre qui étaient occupés par des bouchers et des revendeurs. L'hôpital Saint Nicolas avait le droit de percevoir une redevance quand les friperies y faisaient leurs étalages. Le grand métier avait été créé en 1327 mais les associations qui en dépendaient avaient été abolies en 1382 parce que leur membres voulaient se rendre indépendants.

L'abbaye Saint Arnould possédait vers 1370 un marché qu'elle tenait soit en Chambre, soit en Vésigneuf (place Saint Louis). La redevance pour les commerçants était de :

  • 4 deniers pour tous chars forains venant de l'extérieur de Metz pour vendre des fruits
  • 2 deniers pour toutes les chairates (charrettes) et 4 deniers pour les chars qui apportaient des sacs
  • Des chars amenaient de la paille et du foin et des charrettes étaient chargées de blé.

Vers 1415 derrière l'église Saint Jean en Chambre se trouvait une maison à l'enseigne " A l'issue don Petey", une autre maison, une maison près de Saint Victor était au cul de la halle des Vessiers (revendeurs). En 1421 une maison se trouvait en la halle des drapiers.

En 1417 un incendie avait détruit en novembre une partie des maisons du quartier.

Vers 1420 Jaicomin Mouzon, le payour (le passeur) se trouvait en chambre sur la porte appelée porte Paillat. Une des maisons située sur la place vers 1430 avait pour nom la Jolline, un hôtel portait le nom de la Coupe d'Or. En 1582 cet hôtel était tenue par Florentin Mangeot.

C'était sur les degrés que s'exécutaient les jeux les représentations dramatiques du 15ème siècle.

En 1438 le jeu de Saint Erasme avait duré trois jours, puis en 1512 ce fut l'histoire de la Reine Esther qui avait été contée.

Fin juillet 1438 avait eu lieu le jeu de la Sainte Barbe qui devait durer du dimanche au mardi. Le dernier jour une violente tempête avait forcé les assistants à renoncer au spectacle dont la fin de la représentation avait été reprise le dimanche suivant.

Début du XVIème siècle l'hôtel de la couronne se trouvait vers la Moselle, la maison à l'épée était près de la nouvelle porte aux Roches. Il existait aussi un étal de merciers.

Du grenier des cordiers en 1513 des fardels de chanvre de 100 livres étaient jetés par une fenêtre. Philippe sur qui ce chanvre était tombé, avait été gravement blessé.

Une maison ornée de statues de saints se trouvait près de la petite poterne des Roches.

Vers 1560 l'hôtel et la commanderie de Saint Jean de Rhodes avait été attribués à l'abbaye Sainte Marie et les religieux de Saint Jean transférés dans la rue des Murs.

A la même période sur cette place se trouvaient l'hôtel du Mouton d'Or tenu en 1590 par François Conflans, ainsi que l'hôtel au Chaudron.

Vers 1590 le chemin passant devant la maison des potiers était défoncé. On trouvait sur la place la maison des capitaines située sous le Tillot en Chambre. Des maisons se trouvaient à coté de la ruellette conduisant derrière le mur d'enceinte de la ville qui à cette époque n'était pas encore supprimé.

Début du XVIIème siècle le mouton d'or et la maison dite aux quatre vents se situait entre la rue du Faisan et la rue Saint Louis. Devant le mouton, l'hôtel de la couronne pouvait héberger 12 chevaux.

Le poids du chanvre et de la bourre se trouvait près de l'église Saint Victor. En 1605 le poids de la laine où se tenait le marché de la laine dans la grange Saint Victor était proche la Couronne d'Or.

Un hôtel du Lion d'Or existait en 1627, également une maison où l'on vendait du cuir. En 1648 Girard dont la maison était voisine du Lion d'Or avait fait une demande pour placer devant sa maison une enseigne avec un tableau pour y faire un commerce sous le nom de Saint Julien.

Un égout devant l'hôtel de la Couronne était mal situé en 1630. La décision avait été prise de le conduire par un conduit derrière le Mouton d'Or jusqu'au canal plus bas que le puits existant sur le côté droit de la maison du Mouton.

Le chapitre de la cathédrale possédait une maison qu'il avait louée en 1665 à l'enseigne "A la ville de Verdun". En 1672 location par le même chapitre d'une maison située sous les arvolds (arcades) à un marchand chaussetier.

L'abbaye Saint Clément possédait sur la place une maison dite la maison aux piliers.

Le 5 mars 1689 une affiche annonçait la location par le chapitre de la cathédrale d'une maison lui appartenant, située derrière le Mouton.

François, serrurier avait une petite maison à un bout de la place située à côté de celle de Simon Rémy, boulanger. Sa maison tombant en ruine, en décembre 1689 il l'avait démolie en partie. Il envisageait d'y faire une chambre haute carrée pour s'y loger et en bas une place pour les soldats qui y logeaient continuellement. L'entrée de la cave était gardée par deux hautes bornes pour laisser place aux passants et ne pas être gêné par les chars. Les travaux commencés sans autorisation, il avait écopé d'une amende.

Pierre Gibaut possédait une maison avec une petite cour fermée qui donnait sur la place. La cour aussi ancienne que la maison qui n'était plus suffisamment grande pour loger sa famille et ses domestiques, il avait acquis la maison voisine pour n'en faire qu'une avec la sienne. La maison voisine précédée par une arcade en bois n'était pas dans le même alignement que la sienne. En juin 1690 il demandait l'autorisation de supprimer l'arcade pour la remplacer par un mur en pierre de taille qui rétablirait l'alignement.

Des joueurs de violon venus d'ailleurs, avaient inventé un petit opéra qui se jouait la nuit sur la place en 1699. Pour le prix de 4 sols par titre, les valets et les servantes, les soldats, et même les garçons de bonne famille à l'insu de leurs père et mère, s'y retrouvaient. Les habitants de la place demandaient l'arrêt des spectacles qui étaient la cause de grands désordres.

Une petite maison avec l'enseigne "la Garde de Dieu" était située près de l'enseigne "le Pont à Mousson". La façade avant donnait sur la place de Chambre et l'arrière faisait face à la rivière. Son propriétaire Nicolas Salomon souhaitait en mai 1709 refaire la façade qui comportait trois étages avec des arcades sur des piliers.

La confrérie de notre Dame en l'église Saint Victor possédait une maison appelée vulgairement le Mouton. Le 8 août 1710 cette maison étant presque en ruine des ouvriers avait entrepris des réparations. Au premier coup de marteau, l'avancée au-dessus des boutiques était tombé dans la rue.

Les pavés du bas de la place jusqu'à la porte aux chevaux, ainsi que celui du pont des portières (pont de la Préfecture) et de celui du pont des roches, mais également celui de l'abreuvoir, étaient très dangereux pour les chevaux et les charrettes à cause de la pente trop raide.

Afin d'éviter les fréquents accidents tant pour les chevaux de cavalerie logés aux écuries du Saulcy, qu'à ceux des chartiers qui conduisaient le bois de chauffage, pour adoucir la pente il était nécessaire de relever le pavé sous la porte aux chevaux.

Il avait été demandé en 1709 une participation aux dépenses par les riverains dont le propriétaire de la Fleur de Lys, le boulanger Génot, etc...

Finalement au printemps 1729 la partie basse de la place avait été exhaussée jusqu'à la porte aux chevaux (près du pont de la Préfecture). Il y avait à cet endroit un ancien gué où l'on pouvait abreuver et baigner les chevaux dans la Moselle. Ce gué avait été supprimé par suite de l'élévation du sol.

Une maison à l'enseigne l'écu de France se trouvait derrière le Piquet face à la rue aux Grues. En 1736 sa reconstruction était demandée avec cinq étages, vingt croisées, deux portes d'entrée, une porte de remise et un grenier à foin au-dessus de la remise. elle ne devait comporter aucun pilier, ni arcades.

En 1737 deux maisons étaient à reconstruire, l'une attenante à l'enseigne du Faisan, l'autre près du Lion d'Or.

Projet d'agrandissement de la place en juin 1738. Le bâtiment appelé Piquet où se tenait la garde à cheval avec le couvert pour abriter les équipages des troupes de passage était tout à fait insuffisant. Une proposition avait été faite pour établir le piquet de cavalerie sur le terrain le long de la place de chambre entre l'église Saint Victor et l'escalier de la place Saint Étienne. A cette période la rue d'Estrées et le marché couvert n'existaient pas.

Un arrêt du conseil du roi ordonnait en 1739 d'acquérir la maison qui appartenait au chapitre de Saint Sauveur située sur la place entre le cimetière Saint Victor et le bâtiment servant de Piquet à la cavalerie pour la garde de la ville. Ce bâtiment étant insuffisant en 1754 il avait été joint au bâtiment de la halle.

Nicolas Lecompte possédait en 1739 une maison rue du cul de Sac, dit derrière le Mouton, qu'il avait été obligé de démolir sur ordre de l'autorité supérieure. Il souhaitait la reconstruire dans le cul de sac avec débouché par la place de Chambre qui ne servait qu'à sa maison. Trois voisins avaient une issue dans le cul de sac mais l'entrée de leurs maisons se faisait par la rue du Faisan.

Tout le terrain environnant n'étant d'aucune utilité au public, Nicolas Lecompte demandait un alignement avec six pieds supplémentaires, la maison envisagée n'ayant que seize pieds de profondeur, insuffisante pour créer un logement convenable. De plus il souhaitait avancer la voûte de sa cave jusqu'au ruisseau du cul de Sac.

Les talus de la place de Chambre étant trop raides, l'écoulement des eaux de la rue Pierre Hardie se déversaient dans le ruisseau établi devant le piquet de la cavalerie et tombaient dans la Moselle près du pont des Roches. La poterne communiquant de la place de Chambre à la rue des Roches depuis l'hôtellerie de Pont à Mousson, en 1743 les pavés étaient à relever pour opérer le changement du ruisseau dont la moitié des eaux serait portée à droite pour tomber dans l'égout à côté de la maison Dumenil et l'autre moitié à gauche dans la Moselle.

Une maison avec issue rue des roches avait des latrines communes avec la maison voisine. Les changements dans le canal des Roches avaient interrompu l'écoulement qui se faisait dans cette rivière. Une demande pour construire un aqueduc traversant la rue des Roches pour faire déboucher les latrines dans la Moselle avait été acceptée en juin 1750.

Description de la place vers le milieu du XVIIIème siècle.

Primitivement cette place communiquait avec les rues du Faisan et des Piques, la rue Saint Louis n'étant créée qu'à la fin du XVIIIème siècle, la rue du Pont des Roches n'existant que depuis 1740. La rue du pont et la porte aux Chevaux étaient barrées par les maisons de la rue des Roches se prolongeant jusqu'à l'extrémité de la rue des Piques.

La place communiquait avec la rue des Roches par une ruelle, avec la place Saint Etienne par l'escalier (les degrés) et avec l'église Saint Victor par un autre escalier dans l'angle près du marché aux poissons . L'église Saint Victor entourée du cimetière était derrière les maisons de la rue du Faisan, l'autre accès se faisant par la rue au blé.

La rue d'Estrées n'existant pas avant 1755 la communication avec la place d'Armes s'établissait par la place Saint Etienne.

La rue du Mouton (future rue Saint Louis) était formée de quatre maisons dont l'auberge du Mouton d'Or à l'angle de la place et de la rue Saint Louis. Cette auberge avait été démolie pour dégager et la place et la rue.

53 maisons dont 10 appartenaient au chapitre de la cathédrale, 3 à l'évêque, 2 à notre Dame la Ronde, 1 à Saint Sauveur, étaient disposées sur la place.

Un autre groupe de maisons comprenait la halle au blé, le corps de garde, le piquet, et se trouvait à l'angle de la place de Chambre et des degrés de la place Saint Etienne. Le corps de garde avec une cheminée en pierre de taille, était éclairé par deux fenêtres, la chambre de l'officier également avec cheminée possédait deux fenêtres, la cuisine était éclairée par deux fenêtres non compris les jours au dessus de la porte. La halle était soutenue par sept piliers en pierre.

En haut des degrés se trouvait une croix de mission qu'une confrérie établie à Saint Victor avait mission d'adorer.

A partir de 1755 des travaux avaient été entrepris pour établir une communication entre la place d'Armes et la place de Chambre avec la création de la rue d'Estrées.

Le corps de garde, le piquet, l'écurie et la halle pour la vente du poisson, avaient été démolis .

Le pâté de la cathédrale construit, la fontaine représentant une urne en forme de vase antique avait été établie en 1764 dans un léger renfoncement du mur de soutènement de la place Saint Etienne.

Le corps de garde avait été installé sous la rotonde de la place saint Etienne.

Depuis la réunion de l'abbaye Sainte Marie, en 1766, à des maisons séparées par une ruelle, vis à vis du bureau de poste, cette ruelle était devenue inutile. Madame de Choiseul avait proposé de fermer la ruelle à ses frais et de donner la clé de la porte aux propriétaires des deux maisons concernées par une issue dans la ruelle.

Madame de Choiseul avait ajouté que la ruelle n'était d'un réceptacle d'ordures qui infectait le quartier et une sorte de coupe gorge qui allait devenir encore plus dangereuse avec la translation du bureau de poste et la suppression de la sentinelle qui veillait sur cette partie du quartier. La permission avait été accordée par la ville.

Le traiteur installé vis a vis de la rue du Faisan, faisait face à une petite place avec puits du chapitre Saint Louis qui avait été bouchée par ordonnance du bureau. (probablement la ruelle fermée par madame de Choiseul) Il y avait manque d'eau parce que la fontaine la plus proche était située derrière la cathédrale et ne donnait que très peu d'eau.

Le puits dont l'eau était bonne, pourrait servir à toutes les personnes du quartier. Le traiteur proposait en juin 1779 d'y construire à ses frais une pompe pour éviter l'ouverture du lieu. L'autorisation d'y installer une pompe lui avait été donnée.

En septembre 1767 Thomas Aubry, entrepreneur de travaux publics, était adjudicataire des matériaux provenant de la démolition de deux maisons formant une ile sur la place près de la poste aux lettres. Ces deux maisons avaient appartenu l'une à la confrérie de Saint Victor et l'autre à la collégiale Saint Sauveur. Le 29 janvier 1768 un arrêt du conseil du roi avait ordonné la démolition de l'église Saint Victor qui n'avait été démolie que vers 1818.

L'hôtellerie de la Coupe d'Or sur le terrain de laquelle devait se construire le palais de l'évêque, avait été démolie en 1776. Bien qu'un arrêté ait ordonné la démolition de Saint Victor, cette église existait encore cinquante ans plus tard au fond de la cour de la rue au Blé et dans l'église avaient été installés des logements et des greniers à fourrage.

Après la démolition de l'église vers 1818 deux nouvelles maisons avaient été construites sur une partie de son emplacement.

La place dans sa partie inférieure, au delà de l'escalier de la place Saint Etienne, était en 1819 l'un des endroits de la ville où l'on pouvait abattre et faire griller des porcs.

En 1822 lors de la construction d'une maison à l'angle de la place et du marché couvert, découverte des restes d'une muraille romaine.

La reconstruction du palais épiscopal commencé un peu avant la révolution était resté inachevée et depuis 1822 le marché de la ville y avait été installé.

En 1834 les messageries faisaient partir de cette place leur voiture pour Paris. Le départ se faisait à 8 heures du matin pour arriver à Paris le lendemain à 8 heures du soir.

Un marché de marée fraiche et d'huitres avait été établi sur la place en 1844.
Collection D. Mahut Collection D. Mahut

Avant 1919 au n° 6/8 se trouvait l'hôtel de Paris.

En 1920 dans l'immeuble n°4 un bureau de police français avait succédé au bureau de police allemand. Au 1er étage le préfet de la Moselle avait succédé à l'institut bactériologique.

Les commerces de la place en 1936

N° 3 cafetier, n° 5 coiffeur, n° 7 Cuirs et peaux, Électricité, Imprimerie, automobiles, n° 9 accessoires pour autos, n° 11 serrurier, n° 13 prothèses dentaires, n° 15 mercerie bonneterie en gros, n° 25 café du Dôme, n° 27 boulangerie, n° 29 école de chauffeurs Essler, n° 31 Restaurant des enfants de France, n° 33 Café Nicolas, n° 35 Comptoir Lorrain charbons, n° 37 épicerie les Eco, n° 39 café des voyageurs, n° 41 confiseur, n° 43 coiffeur pour dames, n° 45 exposition de meubles, n° 49 mercerie en gros Couturier, n° 51 salon d'exposition de meubles, n° 53 Bar "A la Marquise", n° 55 Café du Franciscain, station autobus départementaux, n° 57 broderies mercerie.

Année 1895 Année 1914 Année 1920 Année 1930 Année 1930 Année 1929 Année 1930 Année 1930 Année 1918 Année 1951 Année 1929 Année 1933 Année 1916 Année 1923 Année 1926 Année 1928 Année 1931 Année 1914 vers 1950 Année 1954 Année 1956 Année 1956 Année 1963
N° 4 Électricité, n° 6 Hôtel de la Cloche, n° 22 Brasserie restaurant Fauve Bock, Modes.
Année 1914 Année 1926 Année 1921 année 1915 Année 1915


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