Les anciennes limites du Sablon
18 sept. 2007 michele Les rues 0
Sur le plan cadastral de 1811 le Sablon s'étendait de la Seille jusqu'au delà des voies du chemin de fer.
La limite avec le ville de Metz se situait approximativement de l'avenue de l'Amphithéâtre vers l'avenue Foch, pour rejoindre l'avenue de Nancy par la rue Wilson. Cette limite est difficile à situer exactement puisque constituée à cette date des glacis au delà des fortifications.
La limite avec Montigny passait par le début de la rue de Pont à Mousson, la rue des Loges, pour rejoindre le Sablon actuel par les rues Mgr Heintz, Bécoeur, et traversait la gare de régulation pour rejoindre la rue de Castelnau entre les rues Richelieu et Eugène Jacquot.
En 1847 en raison de l'agrandissement du polygone et de la construction de l'ancienne gare, une partie du ban du Sablon était passée à la ville de Metz. La limite toujours approximative avec la ville passait près du passage de l'amphithéâtre à travers les voies de la gare actuelle, suivait la rue Lafayette, la rue Clotilde Aubertin, la rue Charles Petre pour rejoindre la rue de Pont à Mousson.
A cette date il n'existait que la rue de Pont à Mousson et la rue du 20ème corps qui traversaient les lieudits : les moulins à vent, le ban de l'accore, le ban des rosiers, l'orme aux chiens, derrière la ville pour la rue de Pont à Mousson et les lieudits : les bonnets blancs, la foire, la sablonnière et derrière la ville pour la rue du 20ème corps.
En 1877 la Sablon ne possédait plus aucun terrain dans les environs du Pâté. La limite avec Metz passait au milieu des voies du chemin de fer. Le Sablon avait cédé environ deux hectares ainsi que trois constructions.
La limite avec Montigny avait également disparu suite à l'établissement du chemin de fer. Des tractations consistant à un échange de terrains n'avaient pas abouti en 1886 et le cadastre avait simplement pris acte des revendications des deux communes.
Un plan allemand établi vers 1914 avait repris les mêmes limites.