Avenue André Malraux

Pour plus de détails concernant cette rue à proximité de la gare de marchandises, voir aussi la rubrique « le quartier de l’amphithéâtre ».

Au XVI° siècle la rue était nommée Grand Chemin sur Seille en venant de Magny jusqu’à la jonction avec la rue aux Arènes puis prenait le nom de Chemin Saint Pierre jusqu'à la porte Saint Thiébault.

A partir du XVII° siècle une ferme nommée Halsidrac ou Sidrac -en patois Halsigrec- appartenait aux Ursulines de Metz. Plusieurs pièces de terre situées sur le chemin sur Seille appartenaient aux frères Prêcheurs.

En Décembre 1637 le chemin sortant de la ville par la porte Saint Thiébaut, avait été élargi pour servir à la commodité publique.

En 1728 une nouvelle dénomination était apparue : Nouvelle route de Magny.

En 1736 la fortification de la Redoute de la Seille avait été construite à la jonction de la route de Magny et de la rue aux Arènes.

En 1746 les habitants de Magny avaient la charge de l'entretien des chemins au delà et en deçà du pont de Magny qui était payant. Le pont avait été détruit en 1490, mais reconstruit par Nicole de Heu, Seigneur de Magny, avec du bois pris dans les bois de Fleury.

Une nouvelle propriété était citée en 1760 au lieudit Ravage. Le Couvent des Dominicains était en désaccord avec le notaire Suby au sujet des limites entre leurs deux propriétés, situées audit lieu, dont on ne trouvait plus les anciennes bornes. De nouvelles limites avaient été mises, avec pour témoin, deux morceaux de tuile et deux de charbon.

Le 30 mai de la même année, l'abornement posant encore des difficultés, les bornes étaient reculées, de façon que la borne sur le chemin soit scellée dans le mur de la basse-cour que construisait le sieur Suby. En contrepartie les religieux recevaient une pièce de terre, devant la Horgne.

Le premier septembre 1812 des bornes avaient été placées sur les chemins du Sablon pour délimiter la largeur nécessaire à chacun des chemins ou sentiers.

Le chemin de Rivage ou Ravage, autre nom de la route de Magny, finissait sur la grande route près du Pâté où étaient plantés des peupliers.

Le chemin du Waré depuis le chemin de Rivage conduisait à la prairie.

Le chemin de la Halsidrac, planté de petits peupliers, commençait sur la Seille et finissait sur celui de Rivage.

Le chemin derrière le Pâté prenait sur le chemin de Rivage et conduisait à la prairie.

En 1815 Claude Ismeur avait dégradé le chemin de Rivage, pour y établir un jeu de quilles, en bouchant le fossé avec de la terre, empêchant ainsi le passage de l'eau. Il avait été condamné à remettre le chemin en bon état.

En 1826, au lieudit les Bosses, sur le sentier de Rivage, 200 peupliers avaient été plantés, puis en 1830, 70 autres peupliers du chemin avaient été vendus.

Le 27 juillet 1832 le sieur Jean Henry Dropsy, laitier à la Halle Sidrac, avait fait citer le sieur François Simon fermier à la Horgne, pour le condamner à livrer à la Halle Sidrac 6 voitures de foin de la dernière récolte.

En 1840 l’ancien chemin de Magny [1] ne servait plus que jusqu’à la Horgne, le pont de Magny étant tombé en ruine. Le chemin de Rivage avait été remplacé par la nouvelle route départementale n°10 qui prenait ensuite en 1847 la dénomination de route départementale de Nomeny à Metz.

Vers 1850 la sablière Revel occupait à peu près l'emplacement de la gare de marchandises le long de l'avenue de l'Amphithéâtre.

En 1854, proche de la future gare de marchandises, construction d'une fabrique d'objets en caoutchouc, à droite de la route en se dirigeant vers Metz. A proximité la société de tir messin était présente au bord de la Seille. De l’autre côté de la rue, se trouvait le magasin de bois Bello.

Le 17 août 1856, par décision de justice, vente au Rivage, de l'usine de la Pâté Etnienne, avec son matériel, des chaudières et machines à vapeur, deux grands hangars en planches, couverts de tuiles, deux chaudières de 10 et 5 chevaux, deux cylindres avec engrenages, des enclumes, des soufflets de forge, des tenailles, 80 moules en fonte, 40 tablettes pour dentiste, des bascules, des presses hydrauliques, du caoutchouc, des tables en zinc, bois de service et d'autres objets.

Le 19 septembre 1873, l’autorité allemande réclamait 17 francs à la commune, destinés à remplacer une plaque allemande sur la strasse von Metz nach Magny, qui avait été cassée par malveillance. N’étant pas responsable au moment de la pose de la plaque, la commune déclinait toute responsabilité pour sa sauvegarde.

A partir de 1869 plusieurs dépôts de pétrole s’étaient installés le long de la route. Metz s'opposant à l'établissement de dépôts de pétrole à l'intérieur de la ville, c'était donc au dehors que les emplacements avaient été recherchés.

Une association libre, pour l'assainissement des terrains avait vu le jour en avril 1881. Les propriétaires s'engageaient à céder le terrain nécessaire à créer un nouveau fossé. La plus grande partie de leurs jardins était située route de Magny à Metz, avec au nord le port du canal près de l’ancienne gare, et au sud à environ 170 mètres la route militaire [2].

De formations alluviales, sous un sol arable se trouvaient des couches argileuses et à une plus grande profondeur du sable et du gravier. Tout était cultivé en potager, la récolte étant généralement abondante. La pente du fossé était favorable à l'écoulement des eaux mais entravé par les nombreux ponts établis sur le fossé de la route de Magny.

Il était prévu un curage des fossés et la construction d'un nouvel aqueduc à coté de la route militaire.

L’association syndicale qui s’était créée avait pour président Jean François Berné. En janvier 1884 Jean François Berné avait été contraint de démissionner, ayant presque perdu la vue. Il avait été remplacé par François Pécheur qui laissa ensuite la place à Jules Berné qui démissionnera à son tour, en septembre 1885, pour être remplacé par Charles Michaux.

En 1887 les protestataires s'opposaient au curage du fossé compris entre le lavoir [3] et la Seille, estimant que le fossé n'avait pas besoin d'être curé, car entretenu régulièrement par les riverains. De plus le curage risquait d'être préjudiciable à certains murs qui le longeaient, la terre le bordant n'ayant pas de consistance.

Finalement en 1888 Schroeder, propriétaire de la Hallesydrac, avait demandé qu'il soit procédé au curage du fossé, mais neuf propriétaires avaient refusé craignant pour la solidité de leurs murs. La commune avait proposé de supprimer l'aqueduc au dessous du canton « les mottes » et de rétablir le cours naturel du fossé, les propriétaires ayant 30 jours pour faire curer leur fossé.

Il était alors constaté que toutes les eaux comprises entre la route de Magny, jusqu'au chemin rural qui conduisait à la ferme de la Horgne, se déversaient dans la Seille par un fossé à ciel ouvert qui avait toujours existé derrière le mur de la Hallesydrac. Pour gagner du terrain, Schroeder, sans l'accord de la mairie, avait comblé ce fossé le remplaçant par des tuyaux de drainage qui s'avéraient insuffisant en cas d'orage ou de fonte des neiges, ce qui provoquait les inondations. Une pétition du voisinage (18 signataires) demandait la réouverture du fossé.

En avril 1888 Georges Schroeder avait été mis en demeure de démolir dans les 6 semaines l'aqueduc construit sans autorisation derrière sa cour. La mise en exécution de l'arrêté avait été ajourné en mai, car Schroeder proposait la conservation de la conduite et offrait de faire un nouveau fossé à proximité, parallèle à l'ancien. Les voisins réclamaient cependant le rétablissement du fossé existant, le maire étant du même avis, car il craignait les dégâts occasionnés par les orages. En définitive le propriétaire de la Hallesydrac avait obtenu un délai supplémentaire jusqu'en novembre pour exécuter les travaux.

En juin 1887 un projet de passage des eaux provenant de la caserne d'artillerie en construction à Montigny, prévoyait son déversement dans la Seille. Avant ce projet, par temps d'orage, les crues du ruisseau actuel inondaient les caves et remises des propriétés voisines. Les propriétaires s'inquiétaient, craignant les inondations, les eaux sales ne pouvant plus servir à l'arrosage des jardins, les mauvaises odeurs pendant les chaleurs, les eaux devenues marécageuses faisant perdre de la valeur aux terrains, les légumes qui seraient empoisonnés, les terres des jardins à proximité qui seraient emportées par les eaux.

A partir de 1892 installation de l'entreprise de ferblanterie Houpin frères, fabrique d’ustensiles de ménage en fer blanc, zinc, tôle, ou cuivre, des rosaces en cuivre pour tuyaux de poêle, des coudes plissés d'une pièce, en tôle et en zinc. En 1897 Louis Houpin en prenait la succession. Les ouvriers y travaillaient 12 heures par jour de 6 heures à midi et de 1 heure à 7 heures du soir.

En 1892 on retrouvait la route sous la dénomination allemande de Magnyer Strasse.

Le trafic commençant à se développer vers 1900 dans des rues trop étroites, il était devenu nécessaire d’élargir les chemins.

En 1902 en raison de la construction prévue de la gare de marchandises, la redoute du Pâté avait été démolie.

Avec la construction de la gare de marchandises et le développement du quartier, en 1903 un plan d'alignement portant la largeur de la route a 15 mètres avait été approuvé. En raison de la nappe d'eau souterraine ne permettant pas de construire des caves étanches et comme il était indispensable d'établir une canalisation suffisante la route serait exhaussée de 1,50 mètre en moyenne.

La commune du Sablon avait voté une subvention de 80.000 marks qu'elle récupérerait sur les droits de construction. Le département pouvait allouer 42.000 marks, la somme restante de 46.000 marks devait être partagée entre le Sablon et Metz.

Tous les terrains avaient été acquis et payés par la ville en trois fois.

La route avait été construite entre 1912 et 1916.

En septembre 1914 aux numéros 9 et 106 des locaux privés étaient prévus pour servir à l'installation d'ambulance.

La route avait repris son nom français de route de Magny.

En 1919 une somme de 73.000 marks était prévue pour la construction des routes et des égouts, dont 10.000 marks versés à l'entrepreneur Busche pour la route de Magny.

La ville de Metz possédait au n° 180 route de Magny, une usine à gaz qui n'était pas exploitée. Elle avait été louée à Messieurs Dufour frères, épicier en gros, pour un loyer de 11.500 francs par mois.

En 1923 Monsieur Gromer désirait l'acheter. La ville de Metz l'avait louée avec priorité d'achat à Messieurs Dufour qui ne pouvaient l'acheter rapidement par manque d'argent, mais qui cependant y avaient fait des réparations pour 150.000 francs.

Le 15 octobre 1926 renouvellement du contrat avec le chemin de fer pour l'embranchement au prix de 2.942 francs par an, payé par les locataires de l'immeuble messieurs Dufour frères.

En avril 1927 la ville avait rejeté la demande d'indemnité pour les travaux de réparations. Les frères Dufour avaient bénéficié d'un bail à tarif réduit permettant de faire des réparations.

En juillet 1927 l'usine avait été vendue à la coopérative agricole de la Moselle pour la somme de 460.000 francs payable en 5 ans. Finalement en octobre la ville avait accordé une indemnité de 20.000 francs à monsieur Dufour car les travaux qu’il avait effectués avaient contribué à obtenir le prix de vente de 460.000 francs.

En 1922 monsieur Lazard Cahen, industriel, avait demandé qu'il soit remédié à l'état du fossé qui longeait sa propriété. En canalisant la route la commune avait fait construire une bonde de pluie se déversant dans le fossé. Les riverains se plaignant des mauvaises odeurs, le fossé avait été curé en 1914. Les plaintes continuant la bonde avait été condamnée.

En 1923 monsieur Boiteux, directeur de Lacroix, avait réclamé un chemin en plaques cimentées pour remplacer le trottoir en terre très boueux, depuis la gare de marchandises jusqu'aux dernières maisons. La distance à couvrir était de 1.435 mètres et reviendrait à 61.500 francs. La ville possédait un stock de vieux pavés et la dépense ne serait que de 22.000 francs. L'accord avait été conclu pour les petits pavés.

En 1923 un urinoir devait être installé près du tunnel près de la gare de marchandises, sur un terrain du chemin de fer.

En mai 1924 la bascule de la gare de marchandises avait été vendue.

En 1924 le consul du Luxembourg était domicilié au n° 95 route de Magny.

Fin de l'année 1924 un avis favorable avait été donné à l'entreprise Desmarais frères de Paris pour l'exploitation d'un dépôt de liquides inflammables en bordure de la gare de marchandises dans la prairie de la Seille.

En 1929 l'administration des télégraphes faisait procéder à la construction de lignes téléphoniques.
La coopérative agricole possédait un dépôt, d’autres entreprises s’installaient.

RemlingerEn 1931 plan d'aménagement. Les terrains aux abords de la gare de marchandises étaient réservés pour les établissements industriels, les terrains en bordure des grandes voies serviraient pour les commerces et les habitations contiguës, alors que des maisons isolées seraient édifiées en bordure des petites rues.

René Keller, administrateur du garage moderne, avait fait l'acquisition d'un terrain d'un hectare pour y construire un garage sur 7.000 m2, mais le nouveau plan d'aménagement coupait le terrain en deux. Il lui fallait donc construire un garage à étage, moins pratique et plus coûteux.

En 1933 la ville avait remplacé l'éclairage au gaz par l'éclairage électrique, entre la rue Lothaire et le chemin de la rampe [4].

En 1933 la 6ème foire exposition de Metz était définitivement installée sur le terrain au bord de la Seille.

En février 1933 la ville de Metz vendait des places à bâtir dans le lotissement route de Magny.

En mars 1934 un achat de 65 ares 26 était nécessaire pour l'aménagement des trois rues à l'angle rue aux Arènes et route de Magny. Les travaux seraient exécutés au titre du chômage.

En mai 1939 la ville achetait et installait un pont bascule d'une capacité de 40 tonnes en remplacement de celui de 25 tonnes en service près de la gare de marchandises.

Situation des entreprises de la rue en 1905 – 1926 – 1936

En partant de Magny vers Metz, coté Sablon

n° 187 une épicerie en 1936,

n° 157 le jardin de l’hospice Saint Nicolas.

Rue des plantes

n° 137 le café de la bonne source déjà présent en 1905,

n° 105 le café restaurant Guépratte en 1926, devenu le café Bellevue en 1936, également le magasin des Ecos en 1936,

Rue Lothaire

n° 77 la carrosserie Bernard depuis 1926,

n° 65 le restaurant de l’industrie depuis 1905,

n° 63 Lacroix assainissement et installations sanitaires depuis 1905,

n° 43 une menuiserie en 1936,

n°41 Sallerin Leclaire bois de construction depuis 1905,

n° 31 le café « au coq hardy » en 1936,

n° 29 en 1905 un marchand de bois, en 1936 les bois et charbons Colas,

n° 27 un marchand de vins, transporteur en 1905, en 1936 les camionnages Colas,

n° 11 le restaurateur Wirtz en 1905, en 1936 le café des Vosges et le syndicat indépendants des cheminots d’Alsace Lorraine

En partant de Magny vers Metz, coté Seille

n° 182 une épicerie en gros depuis 1926,

n° 180 l’usine à Gaz en 1926 devenue la coopérative agricole de Moselle en 1936,

Rue Vandernoot

n° 170 la brasserie Union depuis 1926,

n° 150 la fabrique lorraine de légumes secs Cahen depuis 1905,

du n° 132 à 138 la Hallesidrac devenue une fabrique d’ustensiles de ménage Houpin depuis 1905 deviendra plus tard la Flum,

n° 124 un marchand de charbons en 1936,

Rue Lothaire

n° 100 la ferme Rivage ou Ravage devenue le magasin Brosch en 1905, puis la caisse d’allocations familiales de la Moselle et le consulat des pays bas et du Luxembourg en 1936,

n° 98 à 100 Guermont fers et métaux depuis 1905,

n° 86 une alimentation en gros depuis 1936,

n° 66 l’union des agriculteurs d’Alsace Lorraine depuis 1926,

n° 54 à 56 Matériel de construction depuis 1905 appelé Keil depuis 1926,

n° 52 un marchand de bois en 1905, un marchand de charbons en 1936,

entre les n° 52 et 44 peut-être l’ancienne fabrique de caoutchouc devenu la villa Erica en 1905,

n° 44 et 34 Lacroix gros et détails en 1936,

n° 32 Lacroix droguerie en 1926 et Lacroix droguerie gros en 1936,

entre les n° 32 et 14 la villa Metis appartenant au notaire Guevel démolie en 1870, une menuiserie ouvrière en 1926,

n° 14 Serot marchand de fer en 1905 devenu Weber en 1926 puis Jules Weber en 1936,

n° 8 à 12 l’entreprise de construction Schnitzler depuis 1905,

n° 6 Docks lorrains d’alimentation en gros depuis 1905,

n° 4 un marchand de charbons en 1936,

n° 2 David grains et Leclaire et Masius en 1926 puis les graines et farines Cahen en 1936.

Ensuite la gare de marchandises et l’octroi.

En septembre 1945, la route ne recevait plus le gaz en raison d'un trou de bombes devant la Flum.

Le 13 juillet 1956 un avis favorable était émis pour l'ouverture d'une chapelle provisoire dans les baraquements de la rue Hannaux.

En 1956 de 3 à 4.000 personnes habitaient dans le quartier de la place Bouchotte.

En 1957 dix baraques en bois qui existaient rue Barral avaient été transférées à Woippy.

En 1958 la chapelle en bois de la rue Hannaux avait été remplacée par une chapelle type Fillod, située dans la même rue sur un terrain de la ville de Metz. Elle avait été inaugurée par le curé Chatam et desservie par le curé Sallerin

Le 19 septembre 1969 autorisation d'ouverture d'une chapelle place Bouchotte.

Le 26 septembre 1970 l'architecte André Boda présentait le plan de l'église Saint Vincent de Paul.

Le 4 novembre 1971 le devis estimatif de l'architecte était de 400.000 francs. Le 13 février 1972 la commission d'art sacré estimait que le projet paraissait trop ambitieux. Il était impossible de le réaliser dans la limite des crédits prévus.

En 1977 la foire exposition abandonnait le quartier de la Seille.

Le 19 décembre 1982 avait eu lieu l'inauguration des bâtiments rénovés Hannaux Barral.

Début 1996 un grand projet de développement urbain à l'emplacement de l'ancienne foire exposition se précisait. La gare de marchandises datant du début du siècle était démolie pour laisser place au nouveau quartier de l’Amphithéâtre.

Notes

[1] l’actuelle rue Saint Pierre

[2] rue Lothaire

[3] rue du lavoir

[4] rue Vandernot

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claire hirsch

je me souviens d une demoiselle soubra qui travaillait a la flum elle s est mariee avec avec un monsieur arnould de peltre ils allaient souvent danser au bellevue je parle de melle arnoud

claire hirsch samedi, 28 mai 2011 - 15:25
loulette

née en 1931, j'ai habité au 31, rue Lothaire au Sablon- et le café" coq hardi" etait à l'angle de la route de Magny. j'habitais chez mes grands parents, qui ensuite ont déménagé rue St Pierre.J'ai fréquenté l'école St Bernard.J'ai quitté Metz en 1942, pendant l'occupation pour venir vivre avec mes parents , expulsés sur Lyon en 1940.
Après la libération, je suis revenue régulièrement à Metz pour la famille.
En effet ce blog est passionnant -je n'ai jamais retrouvé de personnes de mon époque,à contacter. Ma mère était née en 1911 à Metz, elle est décédée à Lyon en 2007.

loulette lundi, 23 mars 2009 - 09:52
André-Michel Besse

Je suis le petit fils de Gabriel Dufour, locataire des bâtiments situés au 180 route de Magny, après avoir repris en décembre 1919 l'entreprise d'Adolphe Hirsch située au 19 avenue Foch à Metz. Il venait de Haute Savoie (Saint Gervais les Bains, où il était propriétaire, en indivision avec son frère ainé Jean, d'une épicerie en gros fondée par leur père à la fin du XiXéme siècle). Il avait dû revendre l'immeuble de Foch en décembre 1923 pour cause de redressement judiciaire et s'était installé à Magny. Il est reparti en 1927 pour s'installer à Annecy toujours comme épicier en gros. Entretemps ma mère était née à Metz en 1920. J'ai des photos de Foch (avant 1919) et de Magny (en 1934 lors d'un voyage - pèlerinage de mon grand père et de ses 3 enfants) pour ceux que cela intéresse. En revanche je cherche toute information sur ces 8 années de ma famille en Lorraine, notamment où se trouve les documents sur le 180 route de Magny cités dans l'article, et d'une manière générale sur l'installation des commerçants et industriels dans les biens séquestrés des allemands.
Bravo pour ce blog très passionnant.
AMB andremichelbesse@gmail.com

André-Michel Besse vendredi, 13 février 2009 - 12:37
dolle

La FLUM !!!

Ma mère y travailla avant la guerre de 1939. Moi meme y etait stagiaire en 1962, aux presses à plastique.

Connaissez vous qqun qui y travailla ???

dolle samedi, 4 août 2007 - 18:49

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