Déjà le tri des poubelles
17 fév. 2007 michele Autrefois 1
Par l’article 22 du code de police, il est enjoint le 22 juin 1781, à tous ceux qui auront chez eux des gravats, poteries, bouteilles cassées, verres à vitres, morceaux de glaces et choses semblables, de les ramasser dans des paniers ou autres ustensiles, pour les porter dans la rue et de les mettre en tas séparé des boues, sans pouvoir les mêler avec lesdites boues, etc…
Mais comme cette disposition donne lieu journellement à des accidents très fâcheux, non seulement vis-à-vis des enfants, mais encore vis-à-vis des bestiaux, particulièrement les chevaux, le procureur du roi fait défense à toutes personnes de déposer, ni de permettre qu’il y ait devant leur maison, des éclats de bouteilles, de verres ou de poteries, sous peine de 10 livres d’amende, sauf à les faire charger dans les tombereaux de l’entrepreneur de l’enlèvement des boues, lors de leur chargement.
Demandons aux inspecteurs, commissaires, sergents de police de tenir la main à l’exécution des présentes qui seront lues, publiées et affichées aux lieux ordinaires et accoutumés de cette ville.
Bonjour, Content de voir que nous avons un blog d'esprit assez proche.
Je vous écrit car je suis en train de faire des recherches sur un sculpteur nommé François Masson. Il a notamment sculpté un bas-relief de la façade de l'hôtel du gouvernement. François Masson fut plus tard l'un des sculpteur officiel de Napoléon. Avez-vous des informations sur cet édifice ? Avez-vous des photos de son oeuvre ?
Merci