CM1 62-63

Photo de mon CM1, 62-63 - à moins que ce soit le CM2, 63-64. J’espère ne pas trop me tromper dans les noms et de ne pas trop les écorcher. Pour beaucoup, j’ai le nom sur le bout de la langue, mais ma mémoire usée ne fonctionne plus très bien.

Dernier rang de gauche à droite : Jsépu, Sommer, jsépu, Jochum, Thiriet, Amelot, Schmitt, Alain

Second rang Jsépu, jsépu, jsépu, Dieudonné, jsépu, Carry, Seddiki, Matuziak, jsépu, Faravari

Premier rang Jsépu, Halter, moi-même Faure, Morineau, Rémigy, Kologreski, Tison, Jsépu, Rousseau, Benoit.

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Fil des commentaires de ce billet

Faure-Kapper

Très content d'avoir de tes nouvelles Daniel. Comment va ta soeur, sylvaine, et ton frère dont je cherche le prénom.
L'instit était Rémy Barthel, mais tu dois confondre avec Karch qui enseignait en CE1 et 2 avec sa femme.
Tu peux m'écrire sur gerard.kapper@gmail.com
A bientôt
Gérard

jochum daniel

je crois qu il est temp de mettre les pendules a l heure c ette instit s appel mr bastian et sa femme exercer aussi car quand il me punisser de piscine j aller faire des punitions dans la classe de sa femme je me souvient encore des coups de regle sur le bout des doigts moi aussi j ai eu droit au tirage de cheveux

peut tu me donner de tes nouvelles Gerard stp

a plus

jochum daniel lundi, 4 octobre 2010 - 19:15
jochum daniel

je suis ravie de revoir cette classe evidament je me souvient de cette incident survenue en classe j ai tres bien connu seddiki mais encore plus dufour duval kologreski tison carry

a disposition si retrouvaille simplifier possible salut a tous

Daniel Jochum

jochum daniel samedi, 2 octobre 2010 - 19:07
Francis Nopré-Villière

Second rang 5e depuis la gauche, Weigerding ???

Francis Nopré-Villière mercredi, 3 septembre 2008 - 21:59
Jean-Jacques

Bonsoir
Au deuxième rang l'avant dernier à droite, c'est bien jérome michel.
J'ai fait mon service militaire avec lui.
Il habitait et habite peut être toujours Woippy.
A bientôt
Jean-Jacques KLEIN

Jean-Jacques vendredi, 23 mai 2008 - 22:42
Denise             STOLZ

le 9e est bien Michel Gérôme , Pascal vous étiez trois garçons me rappel que de deux fils Weigerding mais c'était Michel et Robert je connaissé car avent la construction de la maison jumelée vous étiez rue St Pierre

Denise STOLZ dimanche, 18 mai 2008 - 22:52
pascal

au premier rang, le dernier sur la droite s'appelle Benoît Ohl

pascal mardi, 1 avril 2008 - 19:51
pascal

Bonjour,
Je crois que mon premier message n'a pas été envoyé.
Au 2ème rang en 5ème position à partir de la gauche après Dieudonné il s'agit de mon frère Robert Weigerding qui habite toujours rue Eugene Jacquot, la rue de l'école Saint Bernard.
Cordialement
Bonjour à Jean Paul Cera,
Pascal Weigerding

pascal mardi, 1 avril 2008 - 11:20
pascal

:-) Remoi
Je me permets de compléter certains Jcépus
au 1er rang entre Tison et Rousseau Michel Leroy dit "petit homme"
au 3ème rang le 1er à gauche s'appelle Dufour
J'hésite pour certains et je me renseignerai chez mon frère Robert.
A plus Cordialement

pascal mardi, 1 avril 2008 - 10:36
Patrice

Tu as raison Popol, je cherchais son nom pas plus tard qu' avant hier. Rappelles toi, il a travaillé en face des Amis chez Lemoine et parfois il nous ramenait des éclairs pendant nos parties de tarot.

Patrice samedi, 8 mars 2008 - 15:42
Jean Paul Cera

Au 3ème rang à partir de la gauche, 2ème que Gérard avait noté au nom de Sommer est reconnu comme étant Guyot.
Au 2ème rang à partir de la gauche, 5ème Weigending et 9ème Gerome

Jean Paul Cera samedi, 8 mars 2008 - 15:32
pb

A la droite de TISON, Michel LEROY

pb mercredi, 22 novembre 2006 - 16:18
stratus

Tu as une sacré mémoire. Je suis dorénavant et définitivement "bloanc".

Je vais donner quelques détails qui n'intéressent que nous, mais je serai bref.

Lorsque tu as redoublé ton CM2, je me suis retrouvé en 6 ème pour me faire éjecter dès la fin de l'année et j'ai échoué en fin d'études 1ère et 2 ème année avec une réincorpo en 4ème Barbot . Pas bien brillant tout ça! Angers étant enfin passé dans le courant de fraicheur qui nous arrive par l'Ouest , il fait 22°C ce soir 22h30, je vais de ce pas me payer une nuit de sommeil pour récupérer 10 jours de fournaise.

stratus mardi, 28 juin 2005 - 13:39
Gérard

Effectivement, il fumait la pipe. Par contre, je ne me rapelle pas de sa femme.

On a dû être dans les même classe en primaire. (je suis de 1953), jusqu la fin du CM2 que j'ai redoublé. Je pense que c'est en partie cause des cours de l'instit en question.

J'ai demandé ma fille, dans la Nièvre, de me télécharger mes anciennes photos de classe que je mettrais sur le site.

Si je creuse au fond de ma mémoire, il me semble que tu étais blond et frisé, dis moi si je me trompe.

Gérard mardi, 28 juin 2005 - 13:37
stratus

Notre personnage fumait la pipe et sa femme était également institutrice.

La Sente My dont parle Gérard était un sentier bordé d'arbustes qui m'amenait chez ma grand-mère rue Auguste Prost. Cette rue et la Sente My délimitait un emplacement important réservé aux jardins ouvriers où nous passions de bons moments. Un beau jour de 1971 ou 72, de retour de Muru où des gens plus qualifiés que moi testaient de "gros pétards", je découvris un énorme bâtiment (un CES, je crois) la place de nos jardins. Je fus aussi désespéré que ma grand-mère.

Ce sentier a failli devenir un tombeau pour mon pére.
Lors de l'avancée américaine en 44, des colonnes s'infiltraient par des endroits discrets pour éviter la guérilla urbaine. Mon père, certainement tout un flirt (c'était l'endroit rêvé) se mit courir vers une colonne avançant prudemment dans le sentier et la sentence fut immédiate: mise en joue et tir de semonce, je crois qu'il a couru d'une traite la maison.

Mais bon, il doit courir plus vite que les balles et il est encore très actif actuellement.

stratus mardi, 28 juin 2005 - 13:33
Gérard

Je ne me souviens pas de cet incident en particulier, mais je reconnais les manière de l'instit (un blond lunettes d'écaille coiffé en brosse qui nous astiquait les mains avec une baguette en bambou.)

Je me souvient bien de Seddiki. C'était un grand, très calme et très gentil. On s'est bien frotté la couenne de temps en temps, mais comme avec tout le monde.

C'est vrai qu' l'époque, nous étions des gamins, et n'avions absolument aucune conscience des problèmes de racisme. Quand on est gamin, tout nous parait naturel. Ils avaient juste des noms incompréhensibles pour le Polonais ou un teint un peu plus mat. Mais jamais nous n'y avons vu une quelconque différence.

C'est vrai que ces idées sont mises dans la tête des enfants par les adultes. Et encore, l'époque, ce n'était pas courant, même si la guerre d'Algérie venait de s'achever.

Gérard mardi, 28 juin 2005 - 13:21
stratus

Dans la liste de copains de classe énumérée par Gérard, un nom a ravivé de très mauvais souvenirs.

Un de mes meilleurs copains était d'origine algérienne, son nom était (j'espère qu'il l'est toujours) Seddiki. Nous étions un âge qui n'appelle aucune opinion ni sur la politique, ni sur l'origine des individus. Nous étions bien ensemble et nous le serions toujours. Cet incident se situe, je pense, en 1965.

Mr B.... instituteur, toujours de ce monde d'après mes parents était très énervé car le programme scolaire était en retard sur le planning.

Surveillant la classe du coin de l'oeil, il surprit mon pote en train de balancer des boules de papier tous azimuts. Pris d'une rage soudaine, il le saisi par les cheveux et l'emmena hors de la classe de façon très brutale.

Quelques minutes après, ils réapparurent tous deux. L'instit toujours aussi déjanté et Seddiki stoïque qui tenait fièrement tête toute la classe.

Ce c.. "d'adulte" n'avait rien trouvé de mieux que de lui frotter vigoureusement la moitié du visage qui apparaissait rouge et s'en remettait ainsi notre jugement comparatif pour savoir si tout comme lui, on pouvait considérer que "ces gens" étaient des crados qui ne se lavaient jamais et qui en plus sentaient mauvais!

Mon copain n'a pas montré le moindre trouble jusqu' la sortie du soir où il s'est littéralement effondré sur un banc du square face l'école, me racontant les humiliations que subissaient quotidiennement sa mère et son frère plus jeune. Leur père avait semble-t-il quitté le foyer.

Je crois que cet épisode a "construit" ma façon d'aborder les problèmes raciaux, consolidée par un engagement dans la marine et , plus tard, le travail l'export où j'étais moi un étranger, ravi d'être bien reçu par des gens dont j'ignorais les coutumes.

stratus mardi, 28 juin 2005 - 13:18

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