La guerre de 1870 autour de Metz - suite 8

Du 20 au 31 octobre Capitulation de Metz Vécue par un médecin 21 octobre Les prussiens mettront dit-on le chemin de fer à la disposition des blessés. Lefort se propose de demander pour nous, aux prussiens, un sauf conduit pour Paris. A l’ambulance on s’occupe de vider les lieux, on a fait partir ce matin 40 malades convalescents. 22 octobre ce qui parait militer assez

La guerre de 1870 autour de Metz - suite 7

Du 10 au 20 octobre Récit du médecin 11 octobre il y a eu hier grand conseil de guerre chez Bazaine, tous les généraux avaient été mandés presque à l’improviste. Quelque communication importante a été faite ou quelque décision grave a été prise, on n’en sait encore rien. On confirme la nouvelle de la victoire à Etampes le 19 septembre, mais rien n’est encore officiel. L’abbé

La guerre de 1870 autour de Metz - suite 6

Du 1er au 10 octobre Récit du médecin 1er octobre le restaurateur Pagel refuse de nous héberger plus longtemps à crédit, notre dîner de ce soir sera le dernier. Quoique cette maison soit une horrible gargote et qu’elle me laisse peu de regrets, le fait n’en conserve pas moins une triste signification. L’étendard me mène voir un enfant atteint aussi de fièvre typhoïde. Les

14 mar. 2020 michele

La guerre de 1870 autour de Metz - suite 5

Du 20 septembre au 30 septembre Signé par le général de Berckheim 26 septembre à partir d’aujourd’hui, les deux pontonniers et la nacelle qui font le service à hauteur de la batterie de la Grange aux Dames, sont mis sous les ordres de l’officier de garde. C’est à cet officier que l’on s’adressera pour obtenir le passage de la rivière. Il veillera en outre à ce que la nacelle

05 mar. 2020 michele

La guerre de 1870 autour de Metz - suite 4

Du 10 septembre au 20 septembre Signé par le général Henry 13 septembre à dater du 14 septembre le taux de la ration de fourrage distribuée sera réduit ainsi : avoine 2 kg, de foin 1 kg, de son 0,5kg: soit un total de 3 kg pour les chevaux d’artillerie, les officiers et la troupe. Le blé sera employé à la nourriture des chevaux, en le mélangeant tant que ce sera possible, soit

20 fév. 2020 michele

La guerre de 1870 autour de Metz - Suite 3

Du 1er septembre au 10 septembre Récit (du vécu) par le médecin militaire 1er septembre Entendant la canonnade de grand matin, nous arrivons en poussant nos chevaux et trouvons la bataille engagée sur toute la ligne dans les positions que nous avons gagné la veille. Lefort, Liegeois et les autres ont dû quitter la maison qu’ils occupaient parce qu’elle s’est trouvée au milieu

08 fév. 2020 michele

La guerre de 1870 autour de Metz - suite 2

Du 21 au 31 août par le maire de Plappeville 23 août - note officielle La portion des glacis de Metz affectée au 6ème corps pour se procurer du bois au moyen des abattis du génie, est celle qui s’étend depuis la lunette située en face de l’église Saint Simon, dont on aperçoit la tour en dedans de l’enceinte, jusqu’à la porte de Thionville et au-delà. Un bureau de distribution,

28 janv. 2020 michele

La guerre de 1870 autour de Metz - suite 1

Du 11 au 20 août par le maire de Plappeville Dans le fort, à la date du 15 août, il y avait 30 pièces en batterie, puis à la fin du mois de septembre, 84 pièces presque toutes du calibre de 24. A cette date il n’y avait pas le moindre approvisionnement ni en poudre ni en munitions. Le lieutenant colonel n’avait reçu aucun renseignement sur la situation de ces batteries. Le

19 janv. 2020 michele

La guerre de 1870 autour de Metz - Première partie -

La guerre de 1870 vue par le maire de Plappeville et un médecin militaire qui soignait les nombreux blessés sur les champs de bataille. De juillet au 10 août 1870 Extrait d’après documents d’archives de Plappeville Juillet 1870 Monsieur Viansson, maire de Plappeville écrivait le 7 juillet 1870 au ministre de la guerre pour lui signaler qu’il n’avait pas de plan de la frontière

08 janv. 2020 michele

Maisons de tolérance à Metz

D’après un règlement du 13 janvier 1829, les femmes livrées à la prostitution étaient soumises à une surveillance sanitaire dans l’intérêt de la santé des habitants et de la garnison. Elles étaient dans l’obligation de subir deux fois par mois une visite médicale dont elles devaient rendre compte à la police. Si le certificat médical n’était pas remis à la police, elles étaient

30 nov. 2019 michele

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