Autour des Arènes de Metz Sablon
Ce site propose une promenade temporelle autour des arènes de Metz-Sablon (France-Lorraine-Moselle). Le voyage commence a la période des Romains pour arriver à la période actuelle. Depuis Metz et sa grande région, vivez des rencontres avec l’histoire des lieux et des personnes illustres ou inconnues. Le passé récent est évoqué à travers la mémoire des Messins et des Sablonnais. Chaque lecteur de ce site peut y laisser son empreinte en relatant le souvenir d’évènements de la région, tombés dans l’oubli.
Le 19 décembre 1982 avait eu lieu l'inauguration des bâtiments rénovés Hannaux Barral. Situé rue des jardiniers un immeuble de quatre étages dénommé "les
Proche du pont de la Horgne, des bâtiments d'habitation n'avaient pour sortie qu'une impasse, la jonction entre les rues de Castelnau et du Lavoir avait créé
La piscine avait été inaugurée au mois de septembre 1975. La fréquentation estimée était de 500 entrées par jour, mais avait atteint rapidement les 1.000
Le chanoine Pierre Nicolas Chatam, vicaire au Sablon de 1907 à 1912, puis curé de Launstroff de 1912 à 1918, ensuite à nouveau curé du Sablon depuis 1918 avait
Après relecture des commentaires écrits sur ce site par les sablonnais, voici la liste et la description des différents commerces de l'époque dont ils se sont
Réouverture des commerces * - 27 novembre 1944 - Les employés de la brasserie Amos avaient été priés de reprendre le travail afin d'entreprendre la reprise
L'emplacement de l'église Sainte Thérèse pas encore construite, avait servi de terrain d'entraînement pour les militaires des casernes environnantes. Par la
En février 1933, le conseil municipal avait décidé d'acheter au chemin de fer, 68 ares de terrain en bordure de l'avenue de l'Amphithéâtre et loués à Monsieur
En 1818 il y avait 308 habitants au Sablon, en 1855 il y en avait 868, ( 230 garçons, 185 hommes, 17 veufs, 235 filles, 178 femmes mariées, 23 veuves formant
Contestation des riverains du 29 juin 1923 Le trafic commençant à se développer vers 1900 dans des rues trop étroites, il était devenu nécessaire d’élargir les
En novembre 1909 le conseil municipal avait décidé d'acquérir 43 ares de terrain pour la construction d'une nouvelle école, à l'angle des rues Saint Bernard et
Cette école a été construite pendant l'annexion allemande au début du XXème siècle au lieudit Croix Saint Jean. En 1920 école catholique de garçons, elle
Visite canonique du 26 octobre 1921, il existait 5 classes de filles et 6 classes de garçons. Lors de la visite du 20 décembre 1934 l'école comptait 1.200
L'ancienne mairie située place Saint Livier avait été endommagée par des éclats de bombes et d'obus en 1918. En 1920 ce qui en restait était partiellement
Relaté par les journaux de la région. Une distribution de cartes de pain, sucre, viande, épicerie, saccharine, avait eu lieu le jeudi 19 décembre pour les
Le 24 octobre 1904, lors d'une visite canonique, il avait été constaté que le peu qui restait de la population indigène était d'une indifférence religieuse
Les frères Dufour venus de Haute Savoie, après une installation de quelques années avenue Foch, avaient loués en 1923 les bâtiments de l’ancienne usine à gaz au
Déjà un rapport de monsieur Gobert en 1790 envisageait la réunion des petites municipalités à celle de Metz. En voici un extrait. Diviser pour régner était la
Les limites entre le Sablon et Metz depuis la construction du chemin de fer, passaient au milieu des voies. Plusieurs bâtiments faisaient partie des deux
Septembre 1870 Le 27 septembre le chef d'atelier du chemin de fer avait construit une locomotive blindée à laquelle il devait accrocher un train chargé de
Le conseil municipal s’était prononcé en faveur de deux projets: un tramway sur la ligne Sablon est (rue Saint Livier, rue Saint Pierre, gare) et une ligne
Un crédit de 200 marks avait été voté en 1909 par le conseil municipal pour la translation des restes des guerriers de 1870, de l'ancien cimetière près de
Le 9 mai 1875, Charles Abel, historien messin, avait attiré l’attention sur une découverte faite dans le fossé de la lunette d’Arçon (fortification) en mai
Analyse d'un siècle de vie au Sablon Les naissances Naissance de 1319 garçons et 1228 filles dont : 10 mort-nés de sexe indéterminé, 37 mort-nés garçons , 23
Le Sablon étant autrefois très riche en eau, on pensait que la commune reposait sur un lac souterrain. Les travaux du chemin de fer ayant coupé les sources du
Le 20 octobre 1870 le Général commandant le 2ème corps, avait informé le maire, qu'il avait prescrit de procéder à l'abattage des arbres situés sur les chemins
En 1886 le directeur d'arrondissement avait informé les communes de Montigny et du Sablon du projet de construction d'une église protestante pour Montigny -
La statue avait été érigée en 1876 à l'angle des rues du Graouilly et de Saint Livier. Elle rappelait la chapelle de Saint Fiacre construite en 1153. Détruite
Monsieur Chevreau qui était le seul riverain près de l'ancien pont, avait acheté en 1870 un excédent de terrain, suite à la démolition du pont. En mai 1874 le
La croix des jardiniers Adossée au mur d'une maison, elle était située à l'angle des rues Saint Pierre et des jardiniers, puis avait été transférée à son
En fin d'année 1866, 16 centiares de terrain avaient été donnés par un particulier pour y élever une croix. Donnée par Madame veuve Merlin l'emplacement de la
Le 7 avril 1866 le curé avait ouvert une souscription pour financer l'établissement d'une croix. Cette croix qui honorait Saint André, rappelait l'emplacement
En 1875 des travaux avaient été effectués au presbytère et en 1883 une toiture neuve avait remplacé l’ancienne. En 1895 l'architecte communal constatait que la
En 1881 les propriétaires de la partie basse du Sablon, aux abords de la ville entre la route de Magny et le chemin de l'église, se plaignaient de difficultés
Une demande pour un dépôt de 3.200 litres de pétrole et de 1.600 litre d'essence dans une cave, route d'Augny (rue du XXème corps) avait été déposée en août
Au cours d'une enquête en 1875, 114 habitants étaient contre l'établissement d'un dépôt de pétrole de 10.000 litres au lieudit la croix saint Jean (rue de la
En décembre 1874 une demande d'autorisation avait été faite pour établir un dépôt de pétrole, lieudit passage à niveau, sur le chemin creux, dit la carrière
En septembre 1869 le sieur Tasse ,épicier, et le sieur Grandjean , marchand de couleur à Metz, avaient établi sans autorisation, deux dépôts d'essence, d'huile
Une fabrique d’ustensiles de ménage en 1892, la future Flum se trouvait route de Magny, installée du n° 132 au n° 138. Un règlement des ateliers daté du 15 mai
Cette entreprise avait été créée par Lazard Cahen dans le courant des années 1880, au n° 150 route de Magny. En 1922 Lazard Cahen avait demandé qu'il soit
En 1854 la scierie Sturel s’était installée sur un terrain contigu à la future brasserie Amos. En 1858 l'établissement de scierie, serrurerie avec maison du
Venu de Wasselonne, en Alsace, Gustave Amos s’était rendu acquéreur dans un premier temps de la Brasserie Reinert située à l’angle des rues Belle Isle et
Le conseil municipal avait voté en 1870 une donation de 100 francs et la caisse des écoles avait rajouté 60 francs pour le secours aux blessés. En 1872 la
En août 1877 la direction de l'arrondissement, en raison de la croissance des affaires, avait pris la décision de ne plus faire parvenir les dépêches et
Projet de création d’une gare de triage dans le triangle du Sablon par la compagnie des chemins de fer de l’est. Vu l’importance de la gare de Metz par suite de
En 1830 il y avait des indigents dans la commune, mais pas de mendiant. En 1858 les recettes provenant principalement de la fête, des jeux, des quêtes, des
Suite à la délibération du conseil municipal du 8 février 1855, un arrêté du Préfet avait autorisé la création d'une société de secours mutuel. Le Préfet avait
Entre 1850 et 1860 la taxe sur les chiens rapportait 132 francs, les chiens de première classe, chiens d'agrément ou de chasse étant taxés à 3 francs, les
Le 16 juin 1831, Christophe Niclose & Cie, pharmacien et droguiste sur la route d'Augny, mais domicilié à Metz, avait déclaré qu’un début de feu dans une
Au milieu du 19ème siècle le Sablon était composé d'habitations isolées sur une vaste étendue de terrain, presque toutes éloignées de l'église et de l'école.
La culture {111 personnes} 108 jardiniers 3 mesoyers Le chemin de fer {33 personnes} 12 ouvriers du chemin de fer 2 garde barrières 6 mécaniciens 1 facteur à la
En 1855 la commune payait 400 francs de location, pour le logement du Curé qui était domicilié dans la maison Cor. Cette somme pouvait être employée au
En septembre 1851, pour financer la construction du mur du cimetière, il avait été envisagé de vendre 18,40 ares de terrain au lieudit Tivoly. L'entrepreneur
La décision a été prise de construire une église. En février 1845, un registre avait été ouvert à la mairie, faisant appel à une souscription publique. Le
Le couvent du Sablon est situé à l'emplacement approximatif de l'ancienne abbaye Saint Clément détruite en 1552. En 1695 une maison de campagne appelée Tivoly,
Suite à une enquête en 1847 il avait été prévu que le chemin de fer traverserait le Sablon sur une longueur de 1.324,50 mètres. La tranchée la plus profonde
Après la révolution en 1795, le Sablon était habité par seulement 26 familles. Une quinzaine d'années plus tard il y avait environ 200 habitants et 67 maisons.
- Le 25 Fructidor an XI, Claude Ismeur, mésoyer au Sablon, était curateur d'Anne Simony, sa nièce, en raison du décès de la mère de celle-ci Thérèse Ismeur,
En 1639 Saint Nicolas utilisait gratuitement l'eau de la fontaine de l'hôpital située au Sablon. En 1696, le couvent des Célestins recevait le superflu des eaux
En 1825 et 1826 Dominique Barba était adjudicataire du jeu de quilles, responsable d'éventuels délits. Il avait placé ses quilles face au mur du sieur Mory sur
L'an 3 (1794) l'arpentage des biens communaux avait coûté 867 livres 10 sols. Le 15 brumaire an 4 (6 novembre 1795) Antoine Grosjean avait été élu écrivain pour
25 floréal an 8 (1er mai 1800) Composition du conseil municipal du Sablon Nomination par le préfet du maire et de son adjoint Maire : Dominique Métry - Adjoint
En octobre 1791 avaient eu lieu des réparations pour l'entretien de la fontaine communale. En février 1803 le bassin de la fontaine Saint André, avait été
A la fin du 18ème siècle il avait été envisagé de creuser un canal pour relier la Seille à la Moselle afin d'éviter les inondations. Le canal prévu aurait pu
L'an 10 (1802) les chemins du Sablon avaient été réparés avec des matériaux provenant du vieux château démoli de la Horgne. Le premier septembre 1812 des bornes
En 1811 avait été établi le premier plan cadastral du Sablon. Le Sablon comptait 67 maisons pour une superficie d'environ 300 arpents. Les bâtiments occupaient
L'an 7 (1799) le Sieur Willaume avait acheté un terrain sur lequel il devait laisser le droit de passage du sentier au Sieur Tribout. Acquisition faite, le
En 1815 avaient eu lieu des réquisitions pour l'approvisionnement de la troisième division militaire. Deux vaches sur pied étaient à livrer à Metz, 8,8 quintaux
Le 21 mars 1793 pour compléter le contingent, le recrutement des armées avait fixé l'engagement à 20 hommes de l'age de 18 à 40 ans. En juillet 1795 (thermidor
Le 22 septembre 1791 Anne Tribout, native de Pagny les Goin était servante chez la veuve Guelte. Elle lui avait pris 12 gros écus pour les donner à sa sœur. Il
Le 9 mars 1789 avait été rédigée la lettre de doléances suivante : Les habitants, tous mésoyers ou journaliers sont surchargés de tailles royales et n'ont que
Le 27 Juillet 1719 le corps de Claude Antoine, âgé de 23 ans, né en Franche Comté, soldat au régiment de la Compagnie des Maillots, avait été trouvé noyé sur le
En février 1701 Joseph Picard, pour clore l'écurie de la maison rouge avait fait un mur de 20 pieds, qu'il s'engageait à entretenir, construit sur le mur de
Le pont aux Arènes était cité en 1615, le 26 novembre lorsqu'un serviteur de Saint Arnould s'était noyé dans la Seille près du pont en abreuvant son cheval,
En 1736 lors de la construction du Pâté les ruines oubliées de l’amphithéâtre avaient été découvertes et un plan sommaire en avait été dressé. La fortification
En août 1714 la Fontaine Bénite qui alimentait en eau la place Saint Louis, n'ayant pas suffisamment de débit, il avait été décidé de joindre à son eau, celle
Le 22 Janvier 1664, pendant les plaids annaux des religieux de Saint Symphorien, Christophe Fourmis et Jean Pasquin, avaient été nommés gardes pour veiller sur
Les plaids annaux étaient des réunions auxquelles participaient les habitants et les portériens du Sablon, les portériens étant des propriétaires de terre au
L'Abbaye Saint Symphorien possédait une vigne au Clos de la Maison Rouge située au Sablon. Le 3 mars 1696, l'Abbaye Saint Symphorien avait loué par bail, à
En octobre 1606 Claudin Prevost, fils du Maire de Cheminot et Jacob Geollier de Metz, avaient été condamnés à une amende de 100 sols messins, pour avoir pris du
Vers 1675 il n'y aurait eu que 3 ou 4 maisons au Sablon. La maison de Tibouly ou Tivoly qui portait le millésime de 1695, aurait été une ancienne ferme de
Par contrat du 9 février 1622 une vigne était louée au sieur de Streff, au dessous de la Grange Lemercier, Le 5 août 1678 les frères Prêcheurs avaient engagé
En 1572 Ermirgarde de Gournais, épouse de François de Barisay, et sa nièce Philippe Desch, héritières de Claude de Gournais, décidaient la reconstruction de la
En 1561 l'église Saint Privat reconstruite, avait servi de lieu de réunion pour les protestants jusqu'au mois de décembre. En 1591 l'église avait cessé d'être
Les vignes et les terres propriétés de l'abbaye Saint Arnould Le 8 août 1449 l’abbaye avait loué à Nicolas Voirin le père et Claude Voirin jardinier au Sablon,
Descriptif des vignes et des terres appartenant à l'abbaye Saint Clément. Des vignes appartenaient à l'abbaye Saint Clément qui les louait à différents
Le territoire ruiné du Sablon était devenu principalement un lieu de jardins et de vignes. A partir de 1554 les pierres de l'Abbaye Saint Clément, qui avait été
Extrait concernant le territoire du Sablon orthographe conservé La ville de Metz a de 8 à 9.000 pas de tour, n'étant fortifiée en aucun endroit et n'avait aucun
Au cours de l'été 1552 pour préparer la défense de Metz et fortifier la ville, le Duc de Guise avait fait raser les Abbayes, les églises, et les habitations du
En 1552 un gibet avait été dressé au Champ Papanne près de la porte Saint Thiébaut, pour remplacer celui de Montigny. Les personnes exécutées étaient enterrées
En 1366 la grange Lemercier était citée dans un acte qui stipulait que les bêtes de celle-ci avaient droit de pâture sur l'ensemble du Sablon. La grange qui
On retrouve la trace des habitations et des habitants à travers les documents des différentes transactions. En 1449 il existait deux maisons fortes au ban Saint
On trouve la trace au XIII° siècle du moulin aux arènes situé derrière Saint Pierre aux arènes. En 1235 la ville de Metz avait donné à l'hôpital Saint Nicolas,
Au XI° et XII° siècle il existait un gué pour traverser la Seille près de Saint Pierre aux Arènes (actuel quartier de l'amphithéâtre). Au XV° siècle un pont
Après la destruction de l'aqueduc qui transportait l'eau de Gorze à Metz, les messins consommaient l'eau des diverses sources du Sablon, qui par une conduite en
La plus ancienne mention de l'église Saint Privat remontait à 893. En 1194 l'église paroissiale de Saint Privat avec ses chapelles et dépendances avait été
Une chapelle, dite de la paix et dédiée à Saint Fiacre, avait été édifiée en 1153, Détruite en 1324 et reconstruite en 1334, elle avait été à nouveau détruite
Fondée en 1158 l'église appartenait à Sainte Glossinde. L’église qui avait été construite hors des murs de Metz près de la porte Saint Thiébault. avait disparue
Prieuré bénédictin fondé vers 1120, il avait été démoli en 1444 lors du siège de Metz. Vendu aux Antonistes de Pont à Mousson qui le restaurèrent, il avait été
Le titre de paroisse lui avait été donné en 1090. En 1544 le prieuré Saint Amand proche du pont Saint Clément, dépendait de Saint Vincent et avait été détruit
C’est le 10 mai qu’était célébrée Sainte Marie dans cette église du Sablon. Celle-ci nommée paroisse en 1090 dépendait de Saint Clément puis en 1137 elle avait
Citée comme paroisse en 1090, l'église dépendait de Saint Clément. En 1471 un ermite était dit « loger près de l'église » qui avait été détruite en 1552.
On trouvait déjà une mention de Saint Laurent en 980. L’église avait été cédée en 1090 à l'abbaye Saint Clément et en 1177 c'était Saint Vincent qui en avait
Prieuré incorporé à l'Abbaye Saint Clément avec la permission d'y accueillir des moines. En 1444 les habitations avaient été incendiées, mais l'église épargnée
L'église servait de paroisse pour les habitants du ban Saint Clément et de baptistère public. En 1552 elle avait subi le même sort que les autres églises. Vers
D'après la légende, l'Abbaye avait porté jusqu'en 715 le nom de l'église des Saints Apôtres. En 717 elle avait pris le nom de Saint Arnould, en raison des
Une crypte avait été construite pour abriter la dépouille mortelle de Saint Clément et de ses deux compagnons, arrivés à Metz avec lui. Un premier oratoire qui
En 1093 Saint Pierre avait été reconstruit avec des pierres moulurées plus au sud de l'amphithéâtre dans les jardins de Saint Pierre. Le grand jubilé de Rome
Situé dans l'amphithéâtre, le premier oratoire chrétien aurait été placé dans les cavernes ou couloirs qui passaient sous les spectateurs. L'oratoire avait
Le quartier du Sablon avait été nommé « Quartier des Basiliques » en raison des nombreuses églises et abbayes construites sur le site. Il avait subsisté
Selon la tradition, l'Évêque Clément était arrivé à Metz vers le milieu du III° siècle. Il avait fondé un premier oratoire dans les ruines de l'amphithéâtre
Un important cimetière gallo-romain avec de nombreuses sépultures, des urnes et des médailles, des auges rectangulaires contenant des ossements, de nombreuses
Lieudit la fosse aux serpents, cet édifice était d'une dimension imposante, 148 mètres sur 124 mètres, l’arène mesurant 65 mètres sur 41 mètres. En 1610 cette
Une couche de sable sur des pavés, eux-mêmes posés sur une couche de terre glaise, voici les vestiges de la voie romaine qui menait à Scarpone (rues du
Des murs antiques et des poteries, une statue décapitée, couchée face contre terre : la Déesse de la Victoire, avec des ailes et une branche de laurier sur
Un puits octogonal, avec un escalier en spirale qui s'enfonçait dans le sol et conduisait à une source. Des ex-voto, témoignages de reconnaissance à la déesse
